"C'est le combat qui vous attend, non pas le combat pour défendre des intérêts, si respectables soient-ils, ou des idées sociales, ou même votre patrie, mais simplement le combat pour la vérité."

André Charlier

Chrétienté Solidarité, un mouvement de reconquête

Les militants de Chrétienté-Solidarité défendent la patrie non pas comme une idole mais comme le plus vaste des ensembles protecteurs dans lesquels s’enracinent les personnes, les familles et les métiers. Sous la devise « Dieu, Famille, Patrie » et doublement attachés à leur qualité de Français et de chrétiens, ils oeuvrent au service de l’Église et de la France, affirmant la distinction évangélique du politique et du religieux. Ils luttent contre le génocide français, décrit en 1980 par Bernard Antony, génocide qui vise à ce que les Français se sentent de moins en moins français et à ce qu’ils soient de moins en moins nombreux, par la combinaison de l’incitation à la dénatalité française et de l’immigration de masse.

 

Chrétienté-Solidarité est une expression du nationalisme à la française, un nationalisme ni agressif ni revanchard, qui est un patriotisme en éveil, dans la  fidélité à la France de saint Louis, Jeanne d’Arc, Charles de Foucauld, Honoré d’Estienne d’Orves ou Hélie de Saint-Marc.

Chrétienté-Solidarité affirme que ce n’est pas en tiers-mondisant la France que l’on aidera le reste du monde. Notre mouvement combat pour une France libre, indépendante et souveraine, retrouvant toute sa place dans une Europe des patries et dans le concert des nations.

Une France choisissant de soutenir d’abord ceux qui sont les plus proches d’elle par la civilisation et la religion. Une France qui, pour retrouver sa place, doit se faire respecter notamment dans le monde arabo-musulman et en Afrique. Une France qui aide et protège les chrétientés menacées ou persécutées, comme au Liban ou en Arménie.

Outre des actions militantes de terrain, Chrétienté-Solidarité organise également des sessions de formation (universités d’été, camps d’hiver, colloques….).

Le comité directeur

 

Président : Yann Baly

Président émérite, directeur de Reconquête : Bernard Antony

Secrétaire général : Richard Haddad

Trésorier : Pierre Soleil

Vice-présidents :

Thibaut de La Tocnaye

Laurent Bonnet, chargé des actions de solidarité

Anne Figueras, chargée des actions jeunesse

Le Centre Henri et André Charlier

Créé en 1980 par Bernard Antony, sous le parrainage de Dom Gérard, Jean Madiran et Albert Gérard, le Centre porte le nom de deux figures du XXe siècle, dont les oeuvres dans les domaines de l’éducation, de l’art et de la pensée ont inspiré un courant de défense d’une civilisation menacée par la barbarie contemporaine.

Il s’agit d’Henri Charlier, le musicien, le sculpteur et l’écrivain et d’André Charlier, le directeur d’école et écrivain.

Ainsi, le Centre appelle à une véritable réforme intellectuelle et morale, dans la fi délité aux valeurs spirituelles et artistiques de notre civilisation gréco-latine et chrétienne, celles du Vrai, du Beau, du Bien. Il convie ses amis à oeuvrer, selon leurs dons, dans les domaines de l’art, de la pensée, de la politique ou de l’action familiale, sociale et scolaire, sous l’éclairage de la foi et de la doctrine sociale de l’Église.

C’est au cours des universités du Centre Charlier que furent, notamment, décidées la création des Journées d’Amitié française, la parution du quotidien Présent (hélas aujourd’hui disparu), l’organisation du pèlerinage de Chartres, la fondation de l’Alliance Générale contre le Racisme et pour le Respect de l’Identité Française et chrétienne (AGRIF), la parution de la revue Reconquête

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