Ainsi, après plus d‘un siècle d’abominations communistes dans le monde, avec l’effroyable bilan de désormais bien plus de cent millions de morts assassinés par toutes les méthodes de liquidation et d’exterminations, il y a toujours en France un parti communiste ! Parti né au congrès de Tours en 1920 de l’éclatement du parti socialiste et dont la fraction victorieuse fut celle qui allait pendant soixante-dix ans collaborer inconditionnellement avec l’Union soviétique.

Eh, oui, le PCF fut le parti le plus collabo de France – non seulement collabo de Staline, mais aussi, rappelons-le à temps et à contretemps, de Hitler, aux temps du pacte germano-soviétique durant près de deux ans.

Or, et c’est un autre élément de l’actualité de cet ouvrage nécessaire que nous offre Bernard Antony, ce parti collabo, non seulement n’a pas disparu, mais il va même jusqu’à présenter encore pour 2022 un candidat aux prochaines élections présidentielles. Et qui, sans vergogne, ose demander l’interdiction d’un autre candidat. On s’indignerait à juste titre d’un candidat nazi, pourquoi donc un candidat stalinien ne suscite-t-il aucune réaction médiatique ni politique ? En 2022, selon toute vraisemblance, il y aura d’ailleurs au moins trois candidats communistes sur la ligne de départ : le stalinien Roussel, le trotskiste Mélenchon et au moins un trotskiste « orthodoxe » de Lutte ouvrière ou du Nouveau Parti Anticapitaliste. Quelle gifle à la face des plus de 100 millions de victimes de cette abomination !

Mais il existe aussi un autre élément appelant la nécessité de ce livre : Bernard Antony a mille fois raison d’évoquer les mutations du virus. Car tout un pan de la « déconstruction » qui nous asphyxie et menace de nous faire disparaître comme peuple et même beaucoup plus radicalement comme espèce humaine, sommet de la Création et magnifique image du Créateur, descend en ligne directe du marxisme-léninisme. On sait le rôle que ce dernier tint dans l’histoire de la culture de mort – puisque l’Union soviétique fut le premier pays à légaliser l’avortement (et que la Chine maoïste, outre des dizaines de millions d’adultes, assassina d’autres dizaines de millions d’innocents à naître). Mais la lutte des sexes, l’invasion migratoire pour disposer d’un prolétariat de substitution (tout en jouant, selon une vieille tradition qui remonte à la veille de la révolution d’octobre, les supplétifs de la grande finance), ou les manœuvres de destruction de la cellule familiale, ont le plus souvent été promues par des marxistes fanatiquement attachés à cette idéologie de destruction, comme la funeste école de Francfort. Même cet antifascisme de pacotille qui paralyse tout débat public un tant soit peu sérieux en France – et empêche en particulier toute critique de l’immigration de masse – émane directement de la propagande communiste et de la puissance de feu du Parti.

Et voici que depuis des années le PCF et les autres organisations marxistes-léninistes se sont largement ouverts à l’islamo-gauchisme d’une Houria Bouteldja dont Bernard Antony a le premier porté devant les tribunaux les expressions fanatiques du racisme antiblanc.

Ainsi fusionnent dans la même haine antinationale et antichrétienne les idéologues du totalitarisme marxiste-léniniste, ceux de ses virus mutants de la révolution transatlantique « woke » et ceux du totalitarisme islamique.

L’ouvrage de Bernard Antony sur le PCF et ses virus mutants s’inscrit ainsi dans le nécessaire travail de réplique alimentant la résistance du pays libre français.