Nouvelle Calédonie quoi qu‘il en coûte la France doit rester

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Nouvelle Calédonie quoi qu‘il en coûte la France doit rester

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Le 12 décembre prochain un nouveau référendum aura lieu en Nouvelle-Calédonie. Un de plus ! 

Jean-Claude Martinez, président de l’Union pour la Nouvelle-Calédonie, professeur de droit public et sciences politiques à l’Université Paris II, Panthéon-Assas, publie aux éditions Godefroy de Bouillon un petit essai dénonçant les manipulations scandaleuses et anticonstitutionnelles des listes électorales en faveur des indépendantistes. Mais il explique aussi l’importance capitale de cette îles du Pacifique pour que la France demeure une grande puissance.

175 000 de nos compatriotes seulement ont en effet pu échapper à la manipulation des listes électorales, et ils sont appelés à voter pour la sixième fois depuis 1987 et toujours sur la même question : l’indépendance ou non.

Que le oui ou le non l‘emporte toutefois, un autre référendum est déjà prévu pour après le 30 juin 2023. D’où alors la question : mais pourquoi cet abus de référendums en rafales ?

Pour les 71 533 indépendantistes de 2020, soit l’équivalent de la population de l’agglomération de Béziers, on comprend. L’indépendance leur fait miroiter des royalties que l’impérialisme chinois, qui s’installerait inévitablement, — comme c’est déjà le cas dans les États voisins, dont le Vanuatu à 500 km —, accorderait aux nouveaux dirigeants, en échange du pillage des minerais, des ressources halieutiques, d’une base navale militaire, voire d’installation de missiles, anticipant le potentiel futur conflit avec les États-Unis, l’AUKUS et la Quad.

Mais pour les dirigeants français, qui depuis Michel Rocard et Lionel Jospin, assistent en notaires silencieux à l’amputation d’un morceau de la France, pourquoi font-ils « ça » ? Car enfin, ils savent bien qu’une fois la Nouvelle-Calédonie livrée, elle deviendrait un Zimbabwe du sud Pacifique, d’où nos 81 503 compatriotes loyalistes devraient partir en nouveaux pieds noirs. Ils savent aussi qu’une fois Nouméa abandonnée, la Polynésie suivrait et les ailes de la France se replieraient, renonçant au Pacifique juste au moment où l’histoire va y commencer.

Alors oui, pourquoi ce grand renoncement à être la « France Monde » ?

Discrimination positive en faveur des Kanaks, incompétence et lâcheté de nos gouvernements, le rôle des loges maçonniques et des protestants… Jean-Claude Martinez raconte tout et démonte juridiquement cette traitrise.

 

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