Mexique. De l’indépendance aux Christeros

Auteur : Alain Sanders

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Mexique. De l’indépendance aux Christeros

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Sous-titré « 200 ans de haine anti-catholique », ce travail d’Alain Sanders situe dans son contexte de continuité persécutrice la révolte si légitime et si héroïque du peuple catholique mexicain enfin portée au cinéma par le superbe film Cristeros (1), hélas trop boycotté par les réseaux des salles de cinéma.

Avec ce livre on comprend en effet que l’odieuse persécution qui culmine dans les années 1925-1926 et entraîne le soulèvement de 1927 est l’aboutissement de la volonté maçonnique d’éradication du catholicisme mise en œuvre dès l’indépendance du Mexique en 1821.

Alain Sanders met excellemment en lumière l’action de la franc-maçonnerie mexicaine appuyée par celle de l’Espagne et surtout celle des États-Unis dont bien des présidents sont des affiliés. À l’époque, c’est le très maléfique Woodrow Wilson qui mettra tout son poids pour favoriser l’écrasement de l’Église catholique au Mexique dont il s’agit de faire un État sous contrôle.

Cet épisode de l’histoire maçonnique est un de ceux dont la connaissance permet de répliquer aux « frères » qui ont quelquefois l’ignorante audace d’affirmer que la franc-maçonnerie, toute de tolérance selon eux, n’a perpétré ni persécutions, ni massacres, ni exterminations. Ce qui est une énorme contre-vérité.

Pour ce qui est de la persécution, on sait ce qu’il en a été en France sous la IIIe République. On pourrait évoquer aussi au Portugal les abominations, au XVIIIe siècle, du marquis de Pombal, le premier ministre maçon d’un pitoyable monarque.

Mais surtout, il faut rappeler l’histoire du génocide arménien perpétré par les Jeunes-Turcs dont tous les principaux dirigeants étaient francs-maçons, ce dont nous traitons dans notre livre Vérités sur la franc-maçonnerie.

On découvre aussi dans le livre de Sanders un aspect propre à la franc-maçonnerie mexicaine et intéressant à analyser, à savoir sa connivence avec les communistes. On sait en effet que, depuis les célèbres « 21 conditions de Moscou », la IIIe Internationale, celle des partis communistes moscoutaires, combattait impitoyablement la maçonnerie comme une organisation bourgeoise, mais surtout dangereuse avec ses hiérarchies secrètes. Sans doute estimait-on à Moscou qu’au Mexique, on pouvait faire avec elle un bout de chemin révolutionnaire, avant de « régler les comptes »… quand le rapport des forces aurait changé.

Mentionnons enfin que Sanders, dès le début de son livre, n’omet pas de rappeler la triste réalité du très lâche lâchage des chouans mexicains par la plupart de leurs évêques et par le Vatican. En attendant plusieurs dizaines d’années plus tard la reconnaissance de l’héroïcité chrétienne de la révolte avec les béatifications et canonisations de 34 prêtres et laïcs prononcées par Jean-Paul II.

Ainsi va l’histoire du monde et de l’Église.

Sous-titré « 200 ans de haine anti-catholique », ce travail d’Alain Sanders situe dans son contexte de continuité persécutrice la révolte si légitime et si héroïque du peuple catholique mexicain enfin portée au cinéma par le superbe film Cristeros (1), hélas trop boycotté par les réseaux des salles de cinéma.

Avec ce livre on comprend en effet que l’odieuse persécution qui culmine dans les années 1925-1926 et entraîne le soulèvement de 1927 est l’aboutissement de la volonté maçonnique d’éradication du catholicisme mise en œuvre dès l’indépendance du Mexique en 1821.

Alain Sanders met excellemment en lumière l’action de la franc-maçonnerie mexicaine appuyée par celle de l’Espagne et surtout celle des États-Unis dont bien des présidents sont des affiliés. À l’époque, c’est le très maléfique Woodrow Wilson qui mettra tout son poids pour favoriser l’écrasement de l’Église catholique au Mexique dont il s’agit de faire un État sous contrôle.

Cet épisode de l’histoire maçonnique est un de ceux dont la connaissance permet de répliquer aux « frères » qui ont quelquefois l’ignorante audace d’affirmer que la franc-maçonnerie, toute de tolérance selon eux, n’a perpétré ni persécutions, ni massacres, ni exterminations. Ce qui est une énorme contre-vérité.

Pour ce qui est de la persécution, on sait ce qu’il en a été en France sous la IIIe République. On pourrait évoquer aussi au Portugal les abominations, au XVIIIe siècle, du marquis de Pombal, le premier ministre maçon d’un pitoyable monarque.

Mais surtout, il faut rappeler l’histoire du génocide arménien perpétré par les Jeunes-Turcs dont tous les principaux dirigeants étaient francs-maçons, ce dont nous traitons dans notre livre Vérités sur la franc-maçonnerie.

On découvre aussi dans le livre de Sanders un aspect propre à la franc-maçonnerie mexicaine et intéressant à analyser, à savoir sa connivence avec les communistes. On sait en effet que, depuis les célèbres « 21 conditions de Moscou », la IIIe Internationale, celle des partis communistes moscoutaires, combattait impitoyablement la maçonnerie comme une organisation bourgeoise, mais surtout dangereuse avec ses hiérarchies secrètes. Sans doute estimait-on à Moscou qu’au Mexique, on pouvait faire avec elle un bout de chemin révolutionnaire, avant de « régler les comptes »… quand le rapport des forces aurait changé.

Mentionnons enfin que Sanders, dès le début de son livre, n’omet pas de rappeler la triste réalité du très lâche lâchage des chouans mexicains par la plupart de leurs évêques et par le Vatican. En attendant plusieurs dizaines d’années plus tard la reconnaissance de l’héroïcité chrétienne de la révolte avec les béatifications et canonisations de 34 prêtres et laïcs prononcées par Jean-Paul II.

Ainsi va l’histoire du monde et de l’Église.

14/20 – 103 pages. 14 €

(1) On peut désormais l’acheter en DVD et le faire voir le plus possible.

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